Confiner est-ce soigner ?
Bientôt un an que certains gouvernements ont pris des décisions pour confiner leur population. Le confinement semble tellement bien respecté que certains experts recommandent d’alterner une semaine de confinement avec une semaine « normale ». Mais confiner est-ce soigner ? Que faut-il penser en tant que soignant ?
Confiner, est-ce prendre soin ?
Confiner est-ce prendre soin, est-ce soigner ?
Tout d’abord rappelons ce qu’est la définition du mot santé d’après l’OMS : » La santé est définie comme un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. «
Si on observe les dégâts d’un confinement en terme d’isolement, de faible accès aux soins et de l’impact psycho social négatif généré sur les personnes les plus démunies, le résultat de confiner paraît plus négatif que positif.
Confiner ou bien terroriser ?
Lorsque vous avez des personnes âgées isolées à domicile qui ont peur et dont les familles ne viennent plus rendre visite, tel des pestiférés, il ne s’agit pas d’une situation de soin car l’impact est plutôt négatif.
Si par dessus cela vous avez un homme politique qui fait le décompte effrayant tous les soirs à la télévision pour annoncer le nombre de personnes infectées, sans réellement se préoccuper de l’origine de la situation, cela s’appelle au mieux de l’incompétence, au pire de la manipulation voire de la perversion.
Cet aveu de faiblesse qu’est le confinement…
Le confinement a été entreprit principalement par des pays en difficulté financière. Pas assez de lits de réanimation, pas assez de soignants, pas de matériel, etc.
Le confinement est donc d’avantage une décision politique que non sanitaire.
Il faudra noter au passage la bonne santé financière de certaines cliniques et la volonté de certains gouvernements à ne pas travailler avec ces cliniques privées.
Si vous êtes soignants aujourd’hui, vous devriez vous préoccuper de votre argent vous-mêmes et ne pas attendre qu’une poignée de « hauts » fonctionnaires le fassent à votre place.
Un livre utile en ces temps difficile « Seule meurt la peur » de Barry Long. Livre philosophique et particulier qui ne plaira pas à tous, mais il me sert à illustrer cet article.
Ne cédez pas à la peur. Ne jugez pas négativement celles et ceux qui ont des avis différents car la diversité c’est la liberté, contrairement à l’uniformité qui enferme, restreint et stigmatise.
Le confinement n’est donc pas un acte de soin
Le confinement est une simple privation de liberté. Une sorte de guerre psychologique qui affaiblit les plus faibles et dont la conséquence détestable est la stigmatisation systématique, hors de tout secret médical, de toute personne présentant un symptôme, une faiblesse ou une maladie quelconque.
Mais la bonne nouvelle c’est que rien ne vous oblige à adhérer à un tel « traitement » sans votre consentement 🙂
En revanche beaucoup de questions restent en suspens à la suite de cette « pandémie » qui tue 0,5% de la population mondiale.
Pour ma part nous vivons une incroyable instrumentalisation du papy boom des pays développés qui aura servi à terroriser les populations, masquer les faillites de certains états et réorganiser à l’échelle mondiale un nouveau dogme sanitaire, une nouvelle doctrine où les nouveaux hérétiques sont aujourd’hui les personnes malades et surtout âgées : trop coûteuses, trop dangereuses comme l’étaient perçus les lépreux à une certaine époque. Pour qui la seule réponse a été : l’isolement, le refus de soin en interdisant certains médicaments de manière arbitraire et parfois même l’utilisation de sédatif…
Au vu de ces éléments on ne peut que douter très fortement d’une quelconque efficacité des systèmes de soins actuels qui nous auront démontré durant ces longs mois leur incapacité à prendre en soin de leur population. Comment donc pourraient-ils soigner avec un vaccin expérimental après toutes ces négligences ?
On peut aussi se demander aujourd’hui si notre obsession à refuser la mort à tout prix ne nous mènerait pas dans un cul de sac. Quelle est l’utilité d’un principe de précaution en matière de santé versus le libre consentement éclairé des personnes et le respect de leurs libertés individuelle ?
Rappelons qu’en 2009 seuls 8% des français se sont fait vacciner contre le virus H1N1 terrorisé par l’idée de mourir.
Réfléchissez donc toujours par vous-mêmes avant de prendre des décisions concernant votre santé. Vous devriez toujours avoir le choix de consentir ou non à des soins, sans craindre une limitation de vos droits ni vous faire culpabiliser sur vos choix de santé ou votre comportement.